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Au début de la préménopause, il est fortement conseillé de continuer à utiliser un moyen de contraception. Ensuite à partir de 50 ans, si les règles sont irrégulières et que la prise de sang indique des modifications hormonales, le risque de tomber enceinte devient très faible. Le besoin de contraception va donc dépendre de votre âge, de la régularité de vos règles et de votre taux d’œstrogènes et de FSH (Follicle Stimulating hormones, c’est-à-dire les hormones qui stimulent les ovaires à produire des follicules).
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La moyenne d'âge est de 50, 51 ans. Très peu de femmes auront une ménopause après 55 ans, par contre, un plus grand nombre de femmes peut avoir une ménopause avant 45 ans et un petit pourcentage pourra même être ménopausée avant 40 ans. On parle alors de ménopause prématurée ou précoce.
Parfois c'est lié à des problèmes génétiques et dans certaines familles cela survient plus fréquemment. Le processus pourra également être déclenché de façon accélérée lorsqu’une femme souffre d’un trouble endocrinien, qu’elle a subi une chirurgie pour lui retirer les ovaires ou qu’elle a reçu un traitement de chimiothérapie ou une radiothérapie pour un cancer.
Mais le mode de vie peut aussi avoir une influence sur l'âge de la ménopause, notamment chez les femmes qui fument beaucoup.
Les bouffées de chaleur sont effectivement l’un des symptômes les plus caractéristiques. Mais il en existe d’autres moins spécifiques et parfois plus difficiles à déceler, car ils peuvent être liés à d’autres causes. Je pense notamment aux insomnies, troubles digestifs, problèmes de concentration, troubles de l’humeur, palpitations, à la fatigue, au manque d’énergie ou encore aux douleurs articulaires.
Il y a aussi un autre symptôme qui reste tabou : il s’agit de la sécheresse vaginale. Due aux carences en œstrogènes, elle entraîne des douleurs durant les rapports sexuels et indirectement un manque de libido. Certaines femmes n’en parlent pas facilement par pudeur ou par manque d’informations. Comme pour les autres symptômes évoqués plus haut, la sécheresse vaginale peut être liée à la ménopause, mais peut aussi avoir d’autres causes. Dans tous les cas, il ne faut pas hésiter à en parler à son médecin.
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La ménopause est un moment crucial dans la vie des femmes. Durant cette période, il est important de revoir son mode de vie. Cela permettra de limiter certains facteurs de risques qui peuvent être intensifiés par la ménopause, comme l’ostéoporose et les maladies cardiovasculaires.
Première chose à faire si vous fumez, c’est d’arrêter ! Le tabac favorise un vieillissement osseux prématuré, ainsi que l’apparition de troubles cardiovasculaires et des cancers du poumon, du sein, de la vessie et de l'estomac.
La consommation d’alcool doit aussi être limitée pour éviter les risques de cancer du sein, de problèmes cardiovasculaires, cognitifs et d’ostéoporose.
Pensez aussi à augmenter votre dépense d'énergie en bougeant tous les jours et à faire attention à votre alimentation en diminuant la viande et les sucres (essentiellement les féculents), mais en augmentant votre consommation de légumes et de fruits. Cela vous permettra de limiter la prise de poids, voire l’obésité, qui est aussi un facteur de risques au niveau cardiovasculaire.
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Il y a 20 ans, il était conseillé de prendre un traitement hormonal de substitution durant 3 à 5 ans maximum. Mais ce délai a été revu et corrigé. Aujourd'hui, on estime que la situation doit être réévaluée régulièrement pour vérifier qu'il n'y a pas de contre-indication.
Si vous avez, par exemple, commencé un traitement hormonal à 52 ans, car vous aviez des symptômes invalidants et qu’après 10 ans, vos bouffées de chaleur ont disparu, mais que vous souffrez toujours de sécheresse vaginale, un traitement local sera suffisant pour garder une bonne qualité de vie. Par contre, si en diminuant le dosage du traitement hormonal, on constate que vous éprouvez toujours des symptômes importants, le traitement sera maintenu.
Comment est née l’idée d’écrire ce livre ?
Au moment de l’écriture du livre, j’entrais dans la cinquantaine. Je me suis rendu compte que l’on me percevait différemment, alors que pour moi rien n’avait changé. Le pharmacien me conseillait des crèmes anti-rides, je recevais des invitations à faire des tests médicaux, mais je me sentais en bonne santé. Pour la société, être en bonne santé, c’est avant tout être jeune. Et la ménopause est d’abord associée à la vieillesse. Je n’étais pas préparée, j’ai tout pris en pleine figure : les bouffées de chaleur, les dérèglements hormonaux, la déprime. Tout le monde ne ressent pas la même chose, mais on peut parfois très mal le vivre et ce n’est pas toujours facile d’en parler ouvertement. La ménopause reste encore tabou. J’ai donc décidé d’aborder ce sujet pour bousculer les idées reçues.
Vous évoquez la ménopause, mais sous forme de fiction ?
C’est avant tout un roman sur la renaissance d’une quinquagénaire qui, à l’approche de la ménopause, veut se libérer et redonner un sens à sa vie. Elle ne s’est pas vu vieillir, mais face à la pression de son entourage professionnel qui réclame du sang neuf, elle va décider de tout quitter. Dans sa quête d’identité, elle va rencontrer 2 femmes, Jeanne (80 ans) et Emma (30 ans) qui sont à d’autres étapes de leur vie, mais qui se posent autant de questions. Elle va aussi être confrontée à sa meilleure amie qui vit la ménopause comme une libération. À travers cette galerie de personnages, chaque femme peut s’identifier. Quant aux hommes, ce livre peut leur permettre de mieux comprendre ce que leur compagne traverse à la ménopause.
Qu’est-ce que signifie le titre de votre roman ?
La cinquantaine est souvent comparée à l’automne de la vie. Ce qui assez péjoratif, car cela renvoie à l’image des feuilles qui tombent. C’est pourquoi, j’ai intitulé mon roman : Le second printemps, un titre beaucoup plus positif qui évoque une nouvelle étape dans la vie, voire une renaissance. J’espère pouvoir permettre aux femmes qui vont lire mon livre de prendre du recul sur ce qui leur arrive.