Les Belges ont le sens de la famille. Une petite moitié de nos concitoyens voit sa famille au moins une fois par semaine, soit davantage que leurs amis proches. C'est ce qu'il ressort d'une étude d'ILIV (observatoire de la vie à la maison) !
Les Belges ont le sens de la famille. Une petite moitié de nos concitoyens voit sa famille au moins une fois par semaine, soit davantage que leurs amis proches. C'est ce qu'il ressort d'une étude d'ILIV (observatoire de la vie à la maison) !
Environ 8 Belges sur 10 ont fêté Noël dans leur environnement familial, chez eux ou chez un membre de la famille. Ce chiffre montre l'importance que le Belge moyen accorde à sa famille. La moitié de nos concitoyens habite à proximité de leur famille et 43 % voient leur famille au moins une fois par semaine. À titre comparatif : seuls 28 % des Belges voient leurs amis proches une fois par semaine. Voilà quelques chiffres frappants de l'étude menée par ILIV auprès de 2.000 Belges.
L'étude révèle également que les femmes accordent davantage d'importance à la famille que les hommes, respectivement 57 % contre 42 %. Ce sont toutefois surtout les jeunes dans la vingtaine qui ont déjà quitté le nid parental qui sont les plus attachés à leur famille : 63 % d'entre eux trouvent la famille très importante et 59 % voient leur famille au moins une fois par semaine. Selon Dimitri Mortelmans, professeur en sociologie de la famille, tant les parents que les enfants ont du mal à couper le cordon ombilical. Ils continuent donc à se voir fréquemment et les parents continuent à aider leurs enfants pour certains aspects pratiques.
Surfez sur le site d'ILIV !
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En Belgique francophone, on estime qu’en moyenne, deux élèves par classe présentent un ou plusieurs troubles de l’apprentissage. Lorsque ces troubles, qu’on appelle aussi troubles « DYS », ne sont pas correctement pris en charge, ils peuvent nuire au bien-être de l’enfant et affecter son quotidien. Quelles sont les solutions à mettre en place à l’école et à la maison pour soutenir votre enfant ?
Maladies graves ou chroniques / Cancer
Lorsqu’une proche tombe malade, il est fréquent que l’entourage se sent démuni. L’annonce d’une maladie grave est souvent vécue comme un énorme choc aussi bien pour les malades que pour leurs aidants, leur famille, leurs amis, leurs collègues... Il est tout à fait normal de se retrouver sans mots et désorienté lorsqu’on n’a pas encore été confronté à la maladie, que ce soit personnellement ou à travers un proche. La peur de mal faire peut-être paralysante, or, l’entourage est un pilier essentiel dans le parcours de soins de la personne malade.